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✧ We cant be tamed. #GISNELLE ✧
par Pimprenelle Chastel, le Lun 27 Jan - 21:57

Pimprenelle Chastel

Message : 318
Arrivé en France : 23/08/2019
Nature du sang : Le sang de la demoiselle est pur, c'est d'après son père sa seule valeur. Une monnaie d'échange qu'il compte employé un jour où l'autre.

Statut Matrimonial : Enchaînée à un nouveau bourreau. Princesse prisonnière d'une vie qui lui échappe. Epouse fragile, on lui a rapidement passé la bague au doigt, ou bien la corde au cou vous dira-t-elle.

Âge : Vingt-trois printemps, le temps passe, et fait tourner la roue de la vie, celle-ci s'emballe et rien ne peut l'arrêter, sa jeunesse va se faner, comme les souvenirs de sa jeunesse.

Occupation : Réduite au statut de secrétaire, elle pourrait faire tellement plus sans le dicta du patriarcat.

La particularité Magique : Pratiquante de la magie sans baguette depuis quelques années déjà.

Camp : Gellert Grindelwald la fascine, comme le reste de famill.

une soif de pouvoir & de chaos
une soif de pouvoir & de chaos
Pimprenelle Chastel
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We cant be tamed.
Giselda & Pimprenelle
C’était un monde d’homme, définitivement. Cette pensée révulse Pimprenelle qui ne subissait que trop le patriarcat depuis sa naissance. Plus encore durant cette dernière année, où son frère réduisait son utilité à celle de la nourrice de ses fils, n’exploitant ses connaissances en terme de magie que quand il en avait réellement besoin. Son mari, elle n’en parlait pas vraiment dans la mesure où il la laissait faire ce qu’elle voulait de ses journées, et aussi de ses nuits. Il n’était pas le plus mauvais bougre de cette histoire. L’idée même que les femmes devaient se serrer les coudes lui paraissait tellement évidente. La poupée infernale n’était pas encore prête à pardonner à Marianne son absence, et se reposait quand il le fallait sur celles qui ne l’avaient pas abandonné, Mazarine, et surtout Giselda.Elle était on ne peut plus fière de cette dernière, qui avait su prendre des décisions, et surtout prendre son envol. De femme de l’ombre et suivant les ordres, elle était passé de l’autre côté. La donneuse d’ordre dans un bar clandestin de Paris - l’évolution était sensée et impressionnante. Témoin d’une force de caractère, un tempérament tempétueux. Alors quand cette amie a besoin d’aide, l’occasion est bonne pour sortir. Enfin, on avait besoin d’elle - cette sensation la rendait plus forte.

L’élégante sorcière ne déroge jamais à une apparence soignée, quelque soit les circonstances. Robe arrivant à son genoux, d’un velours noir, les épaules et le dos parés de dentelles tout aussi noir. La silhouette est fluette, toujours. Elle n’a aucune forme à cacher, fort heureusement. Quand elle passe les portes du bar, le femme découvre ses cheveux de sa cape émeraude, gardant toujours celle-ci sur les épaules. D’un calme olympien quand il ne s’agissait pas de quelque chose qui la prenait aux tripes, elle retire sa cape et la dépose sur la première chaise à côté d’elle. Elle observe la scène, les lieux, c’était toujours aussi étrange de voir ce lieu en plein jour, vide. Ses doigts restent accroché à la poignée de son petit sac de cuir tout aussi sombre que le reste de sa tenue. Il n’y a que sa peau d'albâtre et ses cheveux roux lâchés qui contrastent. L’oreille se tend quand elle entend un peu de grabuge vers ce qui lui semblait être les caves. Après tout, c’était pour cela qu’elle était ici. Ses talons claquent sur la pierre au sol, résonnant dans le bar déserté. Reconnaissant la voix de Giselda, elle descend les escaliers pour arriver dans une cave voûtée, peu accueillante où la seule lumière émanait des torches magiques.

L’homme était lié à la chaise. De simples liens, trop simple à son goût. On pouvait encore voir sur son avant bras la morsure qui peinait à cicatriser. Chaque détails à son importance, c’était ce qu’on lui avait toujours appris. ‘Eh bien, il semble en bonne état pour un semi-lycan fraîchement mordu à la veille de sa première pleine lune.’  Elle adresse un regard à son amie. La Deveraux - enfin l’ancienne Deveraux - dépose son sac sur la petite table.Sac qui n’est pas sans importance puisqu’il contient tout ce qui pourrait lui être nécessaire pour quelques sortilèges. Elle ne savait pas grand chose, si ce n’était que Giselda l’avait mordu dans un excès de rage, et que la conséquence était qu’il était maintenant un semi-lycan. Sans doute son amie avait-elle espéré qu’il meurt des suites de la morsure, mais ce ne fut malheureusement pas le cas… ‘As-tu besoin d’information, ou doit-on le faire taire définitivement ?’ demande très sérieusement la dame Chastel retirant ses gants de cuir noir en les posant délicatement à côté de son matériel. Sérieuse, ce n’était pas à Giselda qu’elle avait besoin d’expliquer la sombre et sanglante réputation de sa famille, si elle fut un homme elle aurait été l’enfant prodige de son père, elle avait appris à faire mal avec le meilleur. L’homme, enfin, la chose qui est pied et poings liés face à eux juge opportun de lâcher un ‘Espèces de garces ! Vous allez…’ Il n’a pas le temps de finir sa phrase que Pimprenelle lève la main et d’un sortilège informulé l’homme se met à cracher de l’eau. Un agumenti informulé et il pourrait si facilement se noyer. Le doigt de la sorcière oscille de gauche à droit, ‘Shhhh... Les dames essayent d’avoir une discussion mon lapin.’ Le Lapin est péjoratif, dégradant pour un homme. Elle ne pouvait nier, elle aimait ce sentiment de pouvoir. Tandis qu’il s’époumone encore à essayer de faire sortir cette eau qui avait manqué de l’étouffer, elle reporte son attention sur son amie, un sourire aux lèvres.

Pimprenelle parle en 843d36
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