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✧ “L’inquiétude présente est moindre que l’horreur imaginaire.” (Pimelda) ✧
par Pimprenelle Chastel, le Dim 3 Nov - 17:22

Pimprenelle Chastel

Message : 318
Arrivé en France : 23/08/2019
Nature du sang : Le sang de la demoiselle est pur, c'est d'après son père sa seule valeur. Une monnaie d'échange qu'il compte employé un jour où l'autre.

Statut Matrimonial : Enchaînée à un nouveau bourreau. Princesse prisonnière d'une vie qui lui échappe. Epouse fragile, on lui a rapidement passé la bague au doigt, ou bien la corde au cou vous dira-t-elle.

Âge : Vingt-trois printemps, le temps passe, et fait tourner la roue de la vie, celle-ci s'emballe et rien ne peut l'arrêter, sa jeunesse va se faner, comme les souvenirs de sa jeunesse.

Occupation : Réduite au statut de secrétaire, elle pourrait faire tellement plus sans le dicta du patriarcat.

La particularité Magique : Pratiquante de la magie sans baguette depuis quelques années déjà.

Camp : Gellert Grindelwald la fascine, comme le reste de famill.

une soif de pouvoir & de chaos
une soif de pouvoir & de chaos
Pimprenelle Chastel
“L’inquiétude présente est moindre que l’horreur imaginaire.” (Pimelda) Empty

L’inquiétude présente
est moindre que l’horreur imaginaire.
((2 novembre 1930)) Lionne en cage, ses liens se resserrent sans qu’elle ne s’en rende réellement compte. Plus l’heure approche, plus elle se sent prise au piège. Soudainement, l’envie de fuir, celle de prendre la clef des champs et de disparaître devient oppressante et obsédante. Vaseuse, est-ce le stress ou les vestiges d’une soirée qu’elle n'oublierait jamais, derniers instants de liberté. Remerciant sa faculté à ne ressentir aucune douleur, elle ne sent pas le mal de tête qui enserre son crâne. Le ventre est noué, la perspective de changer de ‘maître’, de passer d’un père à un autre monstre ne l’enchantait pas. Silencieuse, ses appels pour que ceci cesse étaient resté vain; Soit belle et tais-toi. Les femmes n’ont jamais leur mot à dire en fin de compte. Des fleurs, une robe, quelques décorations, voici sur quoi elle avait eu son mot à dire. Poupée que l’on préfère silencieuse. Le temps défile, et seule face à elle-même, elle fixe son reflet dans l’immense miroir.  Sa chambre, c’était la dernière fois qu’elle y mettait les pieds pouvant parler de ‘sa chambre’ à elle. La robe était entreposée sur le mannequin derrière elle. Sublime, comme tout ce qu’elle avait eu le droit de choisir pour l’évènement. Elle n’avait aucunement envie de ressembler à n’importe qui, elle passerait ce cap en tant qu’elle-même, princesse Deveraux infernale demoiselle.

Mais, bien que le monde s'affaire, et allait finir par l’attendre, elle s’en fiche. Renvoyant la coiffeuse, et la femme chargé de s'occuper d’elle dans le fracas d’un caprice enfantin, elle s’en fiche soudainement, elle décide qu’elle n’irait pas. Non. Caractère à fleur de peau, susceptible à souhait. Elle est bien loin d’être prête la future épouse, la jeune mariée. Ses longs cheveux roux encore emmêlés de sa coiffure de la veille, son teint bien trop blafard dépourvu de maquillage. On peut même voir des yeux noisettes rougis par quelques larmes de rage, de colère ou d’impuissance, les trois s'entremêlent en elle depuis trop de temps. Tout est prêt autours d’elle. Un bouquet de fleurs de pré blanche et de lys blanc disposé sur le lit prêt à être portée par la belle que l’on sacrifiait à la bête.Les chaussures blanches sont soigneusement au pied de la robe, les bijoux disposés devant elle, dont le collier de Drizella, à la fois bleu ancien, et emprunté. Plus loin sur la coiffeuse, le diadème qui est sien réminiscence de la princesse qu’elle a toujours été et dont elle a l’impression d’être dépossédé par cette union à venir.  Tout aurait été parfait si elle n’avait pas été aussi malheureuse qu’en cet instant. Elle regrettait d’avoir vu son avis refusé. Bien sûr, il y aurait Roland qui n’avait pas le droit d’entrer dans la demeure aux monstres des Deveraux, sinon il aurait été là, aurait tempéré sa colère, ses ardeurs destructrices.

Quand on frappe à la porte, elle vocifère un ferme, ‘Je vous ai dit de partir - je n’ai pas besoin de vos services de cancrelat marieuse ignoble.’ Là sont les caprices d’une enfant, comme si elle avait le choix. Elle s’avait s’échapper de cette chambre, oh que oui, elle avait appris après vingt trois années à la peuplé. Il suffisait de passer par la fenêtre, de faire l’équilibriste sur quelques mètres et transplané finalement. Quand on insiste à sa porte, elle use du revers de sa main pour sècher ses larmes et se lève, princesse au pied nu simplement vêtue de sous vêtement et d’un peignoir blanc, ouvrant en fureur la porte pour proférer de nouvelles menaces, mais tombe nez à nez avec Giselda. ‘Tu es ravissante.’ Froid, sèche, Pimprenelle la regard, son amie, future belle-soeur. Pimprenelle n’était pas ravissante, elle n’était pas prête, sans doute avait-on envoyé son amie voir où elle en était. Elle était loin, loin d’être prête, et prête à partir, mais dans l’autre direction.

Pimprenelle parle en 843d36
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